Le taux de chômage ne cesse d'afficher de nouveaux records. "C'est la faute à l'Etat, la faute aux patrons, la faute à l'Europe... C'est la faute aux autres, mais surtout pas ma faute à moi !" Et c'est au final, dix millions de paires de bras et autant de cerveaux inemployés qui entrent dans la précarité... Et bien plus hélas, de vies, de couples, de familles en panne, sinon brisées. D'un côté l'Etat veut relancer l'activité, De l'autre, les syndicats patronaux, libéraux, salariés, etc. montent au créneau pour défendre leurs privilégiés : privilégiés de revenus, d'emplois, de pré carrés, de conditions de travail, d'intérêts acquis... Mais trop de négociations collectives ne se limitent qu'à favoriser les "insiders" par rapport aux "outsiders". Qui s'occupera alors de tous les laissés pour compte, les "fin de droit", les trop vieux, les trop jeunes, trop ceci, pas assez cela